Parution de L'ŒIL DES MOTS par Henry-Claude Cousseau

Henry-Claude Cousseau
L'ŒIL DES MOTS

coll. Aisthésis n°1
12,5 x 17,5 cm
336 pages
isbn : 978-2-35904-015-9
20 €


Henry-Claude Cousseau s'inscrit dans une lignée littéraire qui marie à une pensée originale sur l'art un véritable style décriture ainsi qu'une volonté de clarté intellectuelle. Son goût pour la littérature et une pratique de l'écrit qu'il na jamais cessé de mettre en concurrence avec lart et avec la musique en sont responsables.Comme il le reconnaît dans les textes d'ouverture et de clôture de 'L'Œil des mots', ce sont probablement les subtilités de l'interprétation qui ont formé ce passionné dorgue à observer les effets esthétiques et psychologiques suscités par les œuvres d'art et la manière la plus juste de les traduire en phrases.

"L'Œil des mots" réunit 25 textes, essais ou portraits, sur des artistes actuels ou des expositions dont Henry-Claude Cousseau a eu l'initiative, encadrés par une ouverture et un point d'orgue sur l'exercice d'écrire à propos d'art contemporain.

H.-C.Cousseau est conservateur général du Patrimoine ; il dirige depuis 2000 l'École nationale supérieure des beaux-arts.


4e de couverture

Ceux qui connaissent déjà les écrits de Henry-Claude Cousseau retrouveront dans "L'Œil des mots" son regard de Janus à double pupille, tourné simultanément vers l'extérieur et vers l'intérieur, à l'affût de ce qui rayonne des œuvres d'art contemporaines et des mots qu'elles font naître. Nul n'a porté si loin la recherche de la sincérité, de la clarté et de la transparence dans la confrontation d'une œuvre et des émotions raisonnées.

Pour ceux qui ne l'ont pas encore lu, il se dévoilera comme un écrivain captivant dont les essais réunis ici sur Gaston Chaissac, Jean-Baptiste Huyhn, Annette Messager, Marc Couturier, Emmanuel Saulnier, Philippe Cognée, Daniel Dezeuze, Giuseppe Penone, Mrinali Mukherjee, ou les portraits de Cindy Sherman, de Jean-Michel Albérola, de Robert Groborne, de Joël Kermarrec, de François Bouillon ou de William Christie sont autant de victoires sur l'« aveuglante ostentation » du réel.